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A Buenos Aires, un match vécu comme un tango

Les Argentins sont passés par tous les états d’âme, et leur joie finale restait teintée d’une forme d’incrédulité. Elle devrait néanmoins diffuser une douce euphorie dans un été austral frappé par la crise économique

La joie des Argentins après leur victoire en finale de la Coupe du monde, le 18 décembre 2022. — © Matias Marti Campaya / keystone-sda.ch
La joie des Argentins après leur victoire en finale de la Coupe du monde, le 18 décembre 2022. — © Matias Marti Campaya / keystone-sda.ch

Elle s’appelle Soledad, «Solitude», ce qui aurait pu être le menu de son dimanche après-midi si l’Argentine avait perdu ou si elle avait fait comme d’habitude et ne s’était pas intéressée à la Coupe du monde. Mais cette architecte de 42 ans est surnommée Sol, «Soleil», comme celui qui brille au centre du drapeau argentin et qui tape au-dessus de Buenos Aires à quelques jours du début officiel de l’été.

Notre éditorial: Messi fait chavirer le monde

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