Il doit être agréable de boire un café avec Michel Platini et de l’écouter parler de football. Sauf que l’on n’est pas assis à une terrasse mais dans la salle d’audience de la Cour des affaires pénales du Tribunal pénal fédéral de Bellinzone (TPF). Et que le Français, ancien joueur, commentateur, sélectionneur, organisateur, consultant et dirigeant de football, est interrogé pour répondre de faits graves, escroquerie et faux dans les titres.