Au bord du bassin de l’Eure au Havre, on était tout étourdi. Devant les cinq Ultimes réunis pour s’affronter sur la Transat Jacques Vabre, on perdait le sens des proportions. On était pris de vertige en suivant le mât des yeux, n’osant imaginer la vitesse à laquelle ces machines se préparaient à traverser l’Atlantique.