Faire bloc et nier en bloc. En cas de coup dur asséné depuis l’étranger, la consigne est de jouer à la tortue: tout le monde se réfugie sous la même carapace et maintient une version figée en attendant que le numéro un dicte éventuellement une nouvelle ligne. Or, Vladimir Poutine est aujourd’hui fort occupé par son activité favorite: les relations internationales. Il rencontre pour la première fois à Paris son nouvel homologue ukrainien. En Russie, cet événement très formel, prévu de longue date, fait la une et éclipse la cruelle décision de l’AMA.