C’est une joueuse très forte, connue pour son ambition. Un jour, dans la discussion, elle a lancé que le volleyball n’était pas si important que ça pour elle. Qu’évoluer un jour en Ligue nationale A n’était finalement pas son rêve absolu. Pour son entraîneur, Pierre Pfefferlé, ce fut le déclic d’une prise de conscience. Après quinze mois de championnats perturbés ou annulés, d’entraînements interdits ou limités, le sport était enfin libre de retrouver une certaine normalité, mais il continuait de tousser. Comme s’il souffrait d’une forme de covid long.