Du vent. Tout ce qu’on peut dire avant un match n’est que du vent. On le sait depuis Waterloo: les stratégies, les théories, les plans A, B, C, tout s’effondre si, le jour J, la météo s’en mêle. A Roland-Garros vendredi, on redoutait la pluie, ce fut le vent. Beaucoup de vent.