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Une maman, un Kiwi, une Russe, un «terrien»: les improbables de Wimbledon

Tandis que les favoris avancent dans le tournoi, des seconds rôles ont émergé, autant en raison de leurs performances inattendues qu’au bénéfice d’une particularité dans leur parcours

L’Allemande Tatjana Maria après sa victoire sur sa compatriote Jule Niemeier, en quart de finale de Wimbledon, le 5 juillet 2022. — © IMAGO/Dave Shopland/Shutterstock / IMAGO/Shutterstock
L’Allemande Tatjana Maria après sa victoire sur sa compatriote Jule Niemeier, en quart de finale de Wimbledon, le 5 juillet 2022. — © IMAGO/Dave Shopland/Shutterstock / IMAGO/Shutterstock
Laurent Favre
Laurent Favre Wimbledon

C’est le propre de la compétition sportive que de créer du récit, de faire émerger des histoires. Ces dernières années, le tennis s’est surtout habitué à parler records, reléguant l’humain derrière la statistique. Ce sera encore le cas si le tournoi s’achève dimanche par un(e) final(e) en apothéose avec Rafael Nadal et Novak Djokovic, mais d’ici là, d’autres personnages, apparus au fil des tours, leur ont momentanément volé la vedette.

Tatjana Maria, la «super-maman»

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