«Il n’est pas nécessaire que le futur chef des CFF parle le français.» Ces mots ont été prononcés la semaine dernière par le chasseur de têtes zurichois Werner Raschle, à propos des compétences demandées au futur patron de l’ex-régie fédérale. Pour lui, le successeur d’Andreas Meyer a surtout besoin de parler l’allemand, car il «doit convaincre les représentants parlementaires et communiquer avec la population».