Le bio, bon pour la nature et l’esprit
Spécial COP27
AbonnéLa part de cultures répondant aux directives bios ne cesse d’augmenter en Suisse. Pour les acteur·trices ayant franchi le pas, un retour en arrière est inimaginable, tant le cercle est vertueux. Et cela se ressent aussi dans les cursus de formation, toujours plus axés sur le bio

Les jeunes font «Le Temps»
En marge de la conférence de l’ONU sur le climat, qui se tient du 6 au 18 novembre à Charm el-Cheikh, Le Temps a invité une douzaine de jeunes de toute la Suisse romande à prendre les rênes d’une opération spéciale. Âgé·es de 17 à 23 ans, elles et ils ont collaboré avec la rédaction en choisissant les sujets que les journalistes ont ensuite traités.
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Un mois d’avance. La Cave Caloz, à Miège (VS), n’a eu d’autre choix que d’anticiper les vendanges de raisins flétris, qui donneront des vins surmaturés. «Nous faisons face à des attaques de mouches suzukii, de guêpes et d’abeilles», indique au bout du fil, en cette fin octobre, Sandrine Caloz. Lorsqu’on travaille la terre, il faut s’adapter à la nature, qui est un allié, pas un ennemi. La Valaisanne l’a bien compris. Elue vigneronne Bio Suisse de l’année 2019, elle ne pourrait envisager la vitiviniculture autrement qu’en prenant soin de la nature.