Cette fois, la Suisse cesse de se tortiller et reprend les sanctions européennes à l’égard de la Russie. Car tel n’a pas toujours été le cas, comme en 2014, lors de l’invasion de la Crimée, où la Suisse ne s’est pas alignée. A chaque conflit, c’est la même chanson. La neutralité s’accommode-t-elle de sanctions?