Les défenseurs de Laurent Ségalat entendent recourir contre al demande de détention prononcé par le Ministère public à l’issue du procès en appel, a révélé al RTS. Acquitté en première instance, le généticien français a été condamné vendredi à 16 ans de prison pour le meurtre de sa belle-mère à Vaud-sur-Morges en janvier 2010. Dans la foulée, l’accusation avait réclamé l’incarcération du condamné pour motifs de sûreté. L’accusé n’avait pas assisté au jugement et avait ainsi échappé à l’arrestation. Laurent Ségalat ne peut donc plus quitter la France où il vit et travaille.
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