Les cas encore pendants auront été traités d’ici la fin 2012. Un expert externe de la protection des données a été mandaté à cet effet. L’ancien Service d’analyse et de prévention (SAP) n’avait pas effectué les contrôles prescrits pour plus de la moitié des 200’000 personnes enregistrées dans le système d’information relatif à la protection de l’Etat (ISIS).
S’agissant des données livrées par les cantons, le nombre de cas en suspens est passé de 16’000 à 9000. Ils seront tous liquidés cette année encore, a assuré Ueli Maurer, qui estime que les travaux avancent bien.