C’est une double mauvaise surprise que rencontre Lausanne. D’un côté, la découverte d’importantes concentrations de dioxines dans ses sols fait craindre pour la santé de ses habitants. De l’autre, l’absence de ce polluant dans l’ordonnance sur les sites contaminés (OSites) plonge ses autorités dans l’inconnu. Le cas lausannois est une première.