Publicité

«Pour le français, autant viser la France»

Hausi Von Känel, 17 ans

«J'irai chez un viticulteur à Montry, près de Lons-le-Saunier, une place que j'ai trouvée très facilement par le service de l'agriculture. J'ai délibérément choisi la France, car c'est là que je ferai certainement l'expérience la plus dépaysante. La Suisse romande, je la connais déjà un peu, et j'aurai sûrement du temps plus tard pour la découvrir mieux. Bien sûr l'anglais est la langue la plus importante, sans compter que le français est plus difficile, mais c'est une langue que j'aime. C'est aussi une langue qui me sera utile si j'arrive à faire le métier de pilote auquel je me destine.»