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Ces frontaliers qui font tourner les hôpitaux

Au Groupement hospitalier de l’Ouest lémanique (GHOL), la moitié du personnel soignant est composée de frontaliers. Une main-d’œuvre indispensable, qui ne doit pourtant pas empêcher la Suisse de former davantage d’infirmières et d’infirmiers

Estelle Muffat-Méridol et Jean-Luc Danckaert, infirmiers au GHOL et frontaliers.  — © Valentin Flauraud pour Le Temps
Estelle Muffat-Méridol et Jean-Luc Danckaert, infirmiers au GHOL et frontaliers.  — © Valentin Flauraud pour Le Temps

A l'origine de l’initiative qui veut redonner à la Suisse sa pleine souveraineté en matière d’immigration, l’UDC estime que la libre circulation des personnes est la source de tous les maux en Suisse: un pays bientôt surpeuplé et trop densifié, dont la main-d’œuvre souffre de la pression de la concurrence étrangère. Au front du marché du travail, la réalité est pourtant différente. Ainsi, le Groupement hospitalier de l’Ouest lémanique (GHOL) est totalement dépendant de l’apport de ses frontaliers.

Lire à ce propos: Libre circulation: l’UDC prédit «l’apocalypse au ralenti»

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