Bien que très critique sur les pratiques de Frontex, notamment sa passivité coupable autour des opérations de refoulement de migrants, Amnesty International n’a pas pris part à la campagne entourant la votation de ce 15 mai. Elle estime que la Suisse doit désormais participer activement à un plus grand respect des droits humains de Frontex. Réaction de sa porte-parole, Nadia Boehlen.