Les médicaments n’étaient pas destinés à la Suisse, mais au marché européen. Ce qui démontre que Genève a fait office de plaque tournante: «Cet important trafic a des implications internationales, et il y a de forts soupçons indiquant qu’il est lié à la criminalité organisée», selon Jérôme Coquoz.
Des enquêtes judiciaires sont en cours, les détenteurs de deux marques ayant porté plainte auprès du Parquet à Genève.