La gestion de la buvette des Bains des Pâquis, ainsi que celle des Voiles, à Genève-Plage, coûte cher aux contribuables genevois. Les loyers encaissés pour ces deux activités commerciales déployées par des privés sont très en dessous des normes. La loi prévoit pourtant que le subventionné doit tirer pleinement parti de ses propres ressources financières. Ce principe n’est respecté dans aucun des deux cas. En clair: le manque à gagner est comblé par les subventions, donc les impôts. Une meilleure gestion, recommandée par l’auditeur, doit permettre de baisser ces dernières en proportion de ce que rapportent ces deux lieux de villégiature.