C’est un coup de théâtre auquel personne ne s’attendait. Dans la très singulière affaire, dite «de la plume», le notable soleurois, condamné à 13 ans de prison en première instance pour avoir asphyxié sa femme avec un coussin, livre une nouvelle version qui n’est plus celle d’un décès naturel, mais d’un jeu sexuel qui aurait dérapé. Cette volte-face intervient à moins d’un mois du procès en appel qui doit s’ouvrir le 27 février à Genève.