«Les autorités suisses subissent-elles une pression sociétale au sujet du suicide assisté? Est-il vrai qu’il faut dépenser des milliers d’euros pour obtenir l’aide au suicide? Une personne avec un trouble cognitif peut-elle être candidate au suicide assisté? Le suicide assisté ne s’oppose-t-il pas aux soins palliatifs?»: les questions de la délégation française adressées ce vendredi au personnel soignant des HUG étaient nombreuses. Le groupe composé de parlementaires et de soignants était mené par Olivier Véran, porte-parole du gouvernement et ministre délégué chargé du «renouveau démocratique», et Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée chargée des professions de santé.