Ultime passe d’armes au procès des intrigues guinéennes attribuées à Beny Steinmetz. Et dernière occasion pour les parties de répliquer aux arguments adverses afin de convaincre les juges de la Cour d’appel du caractère pénal, ou pas, de cette affaire de corruption internationale. Normalement, ce genre d’exercice vise à soulever brièvement des points précis et controversés. Mais ce dossier n’a décidément rien d’ordinaire. Quelques moments d’audience pour boucler la boucle.