De sa vie, Alberto Velasco, figure du Parti socialiste genevois, aura fait l’objet de deux plaintes pénales. Une d’honneur et une de déshonneur, comme il dit. L’honneur remonte à 1968 quand, gréviste aux Charmilles après son apprentissage de mécanicien, il frôle l’expulsion du pays. Le déshonneur, lui, est récent. Comble d’ironie, il provient d’un camarade.