Gerhard Pfister: «La défense de nos libertés aura un prix»
Neutralité
AbonnéDès que la Russie a envahi l’Ukraine, le président du Centre Gerhard Pfister s’est affirmé comme l’un des acteurs les plus profilés du débat sur la neutralité suisse. Il appelle de ses vœux une Suisse souveraine, capable de prendre ses propres sanctions. Et il se dit prêt à aller à Taïwan
Modifié jeudi 15 septembre 2022 à 11:33
Le Forum des 100
Pour sa 18e édition, le Forum des 100 organisé par Le Temps explorera les relations qu’entretient la Suisse avec le reste du monde via cinq chapitres. Gerhard Pfister y participera notamment dans un débat sur l’avenir des relations bilatérales Suisse-Europe et la neutralité aux côtés de Pierre-Yves Maillard, Céline Amaudruz et Cenni Najy.
Le Forum des 100 aura lieu le 11 octobre à l’EPFL.
Renseignements: forumdes100@letemps.ch
Agé de 59 ans, Gerhard Pfister affiche toujours une liberté de ton rafraîchissante. Il espère que le Conseil fédéral ne se cachera pas derrière un rapport pour se dédouaner de ses responsabilités sur la politique de neutralité et avertit que la Suisse devra choisir son camp face à la Chine avec les conséquences que cela implique.
