Jacques Pilet sur le traumatisme du «dimanche noir»: «J’y ai vu un risque intérieur pour la Suisse»
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AbonnéRédacteur en chef du «Nouveau Quotidien» en 1992, très pro-européen, Jacques Pilet raconte ses souvenirs du «dimanche noir» et ses convictions pour le futur des relations avec l’Union européenne

Le 6 décembre 1992, Jacques Pilet, figure du journalisme romand, était rédacteur en chef du journal Le Nouveau Quotidien, qu’il avait fondé après avoir déjà créé L’Hebdo. Qualifié «d’euro-turbo» outre-Sarine, il livre ses souvenirs et son engagement dans un ouvrage paru aux Editions Alphil, Journaliste. Le souffle de l’histoire. Interview