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Pour l’agriculture romande, un été de tous les dangers aux airs de mauvais présage

Sécheresse, grêle, incendies… les malheurs s’enchaînent dans la campagne genevoise depuis le début du mois de juillet. Plus que d’évoquer une «mauvaise année», les faîtières de l’agriculture romande s’inquiètent des dégradations climatiques à long terme

Les champs ont soif. Faute de pluie, les agriculteurs doivent s’en remettre à l’arrosage pour lutter contre la sécheresse. Ici à proximité du bois de Finges (VS), en juin 2022.  — © Jean-Christophe Bott/Keystone
Les champs ont soif. Faute de pluie, les agriculteurs doivent s’en remettre à l’arrosage pour lutter contre la sécheresse. Ici à proximité du bois de Finges (VS), en juin 2022. — © Jean-Christophe Bott/Keystone

Lundi 4 juillet. Un déluge de grêlons s’abat sur plusieurs communes genevoises de la rive gauche, défigurant vignes et cultures. Le dimanche suivant, c’est au tour d’un champ de Meyrin de subir les humeurs du climat. Malgré l’intervention rapide des pompiers, 5 hectares de terrain partent en fumée. D’autres épisodes viendront-ils allonger cette série noire? D’après MétéoSuisse, une autre vague de chaleur, suivie de forts épisodes orageux, risque d’assécher puis d’inonder les cultures romandes la semaine prochaine.

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