Abonné
Albane Bruigom, de l’unité de prise en charge des victimes de la police de Lausanne, reçoit des personnes qui subissent des violences domestiques, des agressions homophobes ou du harcèlement. Leur acceuil nécessite écoute et empathie

Parmi les victimes de violences, rares sont celles qui se rendront dans un poste de police pour déposer plainte. Par crainte de ne pas être prises au sérieux, de voir se déclencher une procédure qu’elles ne maîtriseront pas, ou parfois simplement parce qu’elles se sentent intimidées.