L’Université de Genève porte plainte après une nouvelle conférence bâillonnée par des militants LGBTIQ+
Genève
AbonnéDes activistes LGBTIQ+ ont censuré une conférence organisée par la Faculté des lettres de l’Université de Genève. Elle accueillait un professeur français, invité pour évoquer son livre «Le Sexe des Modernes», jugé «transphobe» par des militants. Confrontée pour la seconde fois à de telles pratiques, l’alma mater annonce déposer une plainte pénale
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