Mardi 14 février, l’Union syndicale suisse (USS) a lancé la troisième grève nationale des femmes en affirmant «qu’il faut avancer plutôt que reculer» en matière d’égalité. «Entre 2016 et 2022, les bas et moyens salaires, ceux que touchent les femmes en majorité, ont baissé en valeur réelle», déclarait-elle. Une assertion contestée par l’Union patronale suisse (UPS). Son responsable romand Marco Taddei répond à l’USS et souligne les efforts du monde patronal pour faire face aux défis de l’avenir.