La publication massive de données sensibles de l’Université de Neuchâtel sur le darknet, révélée mercredi par Le Temps, sonne comme un réveil dans l’arène politique neuchâteloise. Les présidents de groupes au Grand Conseil constatent jeudi que l’ampleur inattendue de cette cyberattaque survenue mi-février soulève de nombreuses questions liées à la cybersécurité de l’administration cantonale et des collectivités publiques, aujourd’hui sans réponses. Ils appellent à l’ouverture d’un vrai débat de fond, tout en reconnaissant que le risque zéro n’existe pas.