Le PDC Suisse est en pleine introspection. Il cherche le moyen d’infléchir sa courbe électorale, qui ne cesse de décroître depuis de nombreuses années et qui frôle désormais la barre des 11%. Mais il croit avoir trouvé la solution: changer de nom pour donner le signal d’un nouveau départ et abandonner le «C» de chrétien, dont la connotation religieuse lui ferait perdre bon nombre d’électeurs. Le tout en fusionnant avec le Parti bourgeois démocratique (PBD).