Égalité
AbonnéUne infirmière genevoise a voulu placer son fils à la crèche des HUG. Mais entre restrictions alimentaires «trop compliquées» et mari au chômage, l’accès lui a été refusé. Avenir Syndical dénonce les propos tendancieux d’une responsable

Pas de viande, pas de place en crèche. Infirmière aux HUG, Célia* ne voit en cette règle qu’un prétexte discriminatoire. Soutenue par Avenir Syndical, la jeune femme a expliqué son désarroi lors d’une conférence de presse ce mardi. Au sortir de son congé maternité, Célia a voulu inscrire son enfant à la garderie du service. Mais après un entretien avec la sous-directrice de la crèche, en mars, ses espoirs s'envolent.