La rente-pont devrait passer le cap du parlement. Une majorité devrait se dessiner mercredi pour redonner vie à ce projet sorti en 2019 des cuisines de Karin Keller-Sutter et d’Alain Berset. La majorité des partis le soutient. D’accord sur le principe, l’Union patronale suisse (UPS) a cependant des doutes sur la formule retenue par la Commission de sécurité sociale et de santé publique du Conseil national (CSSS-N). Seule l’UDC s’oppose fermement à ce qu’elle appelle un «projet hypocrite de rente de licenciement».