Le choc de la reprise de Credit Suisse (CS) par UBS a d’abord eu un effet bœuf sur des partis politiques en pleine préparation des élections fédérales d’octobre. Dès le 19 mars, soir de l’annonce gouvernementale, il a plu des communiqués indignés. Rapidement, à la demande de l’Assemblée fédérale et parce que la Délégation des finances avait engagé de l’argent public, une session extraordinaire a été organisée. Elle commencera le mardi 11 avril en fin de matinée pour se terminer le jeudi 13 aux mêmes heures. Mais trois semaines après l’annonce, l’élan initial est retombé.