Il aura suffi que Pascal Broulis annonce son départ du Département des finances pour que la droite réclame des baisses d’impôts tous azimuts. L’alliance qui a conquis quatre sièges gouvernementaux sur sept au printemps dernier en avait logiquement fait son thème de campagne principal, cela dans un canton réputé pour être actuellement l’un des plus voraces envers les contribuables, notamment ceux de la classe moyenne.