Les recherches durent depuis cinquante ans et la Société coopérative nationale pour l’entreposage de déchets radioactifs (Nagra) n’est pas au bout de ses peines. Mais l’institution s’apprête à franchir une nouvelle étape lundi en livrant le nom du site qu’elle recommande pour l’enfouissement des déchets nucléaires en couches géologiques profondes.