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Suisse alémanique cherche profs, diplôme optionnel

L’espace germanophone suisse est confronté à une sérieuse pénurie d’enseignants. Face à une situation tendue, les cantons d’outre-Sarine s’efforcent de susciter de nouvelles vocations au sein d’un monde professionnel toujours plus compétitif

Image d'illustration. A Glaris, mai 2018. (KEYSTONE/Gaetan Bally) — © GAETAN BALLY / KEYSTONE
Image d'illustration. A Glaris, mai 2018. (KEYSTONE/Gaetan Bally) — © GAETAN BALLY / KEYSTONE

C’est le feuilleton de la rentrée en Suisse alémanique: il n’y a plus d’enseignants. Du moins largement pas assez pour remplir les besoins. A Zurich, à Berne ou en Argovie, les cantons s’apprêtent à un retour en classe chamboulé par l’absence de maîtres et maîtresses d’école, dont les effectifs insuffisants sont remplumés tant bien que mal par la prolongation des horaires des survivants et l’engagement de volontaires. Les besoins sont si pressants que ces derniers sont par endroits engagés sans diplôme, ce qui ne manque pas de faire grincer les dents de certains parents. Comment en est-on arrivé là?

Près de 20 000 enseignants à Zurich

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