Consternation au Tessin. Alors que les frontaliers résidant en France mais employés en Suisse pourront télétravailler jusqu’à 40% du temps de travail, sans remettre en cause le mode d’imposition de leurs salaires, l’accord amical italo-suisse conclu pendant la pandémie prendra fin le 31 janvier. Il permettait aux travailleurs frontaliers d’être soumis au régime fiscal suisse, même pendant les périodes où ils télétravaillaient depuis l’Italie. A partir du 1er février, les jours où ils télétravailleront, ils seront soumis à l’impôt italien.