Entre la politique et Céline Weber, tout a commencé par une occasion manquée en raison de l’immuable question posée aux femmes: en plus de sa profession d’ingénieure et de sa famille, y a-t-il encore du temps pour un mandat au Grand Conseil vaudois? Non, tranche la toute jeune maman en 2012. Sept ans plus tard, même dilemme, mais le contexte a changé: étant désormais indépendante, elle est plus flexible et ses deux filles ont grandi: elle accepte de figurer sur la liste vert’libérale sur l’insistance d’Isabelle Chevalley qui tient à une liste paritaire pour le Conseil national. Et c’est ainsi qu’elle vient de lui succéder à Berne.