politique fédérale
AbonnéVaud a élu deux sénateurs passablement opposés sur le spectre politique, la Verte Adèle Thorens Goumaz et le PLR Olivier Français. Lorsque les intérêts du canton sont en jeu, ils savent faire front commun

Un peu plus d’une année après les élections fédérales, à l’occasion de la session de printemps qui débute ce lundi, Le Temps a passé au crible le fonctionnement des six tandems romands à la Chambre haute.
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Cela faisait vingt ans que le Parti socialiste vaudois était représenté à la Chambre haute, avant que la vague verte de 2019 ne redistribue les cartes. Franc du collier, le sortant Olivier Français n’avait pas caché durant sa campagne électorale ses préférences, ni ses mésententes avec la candidate écologiste Adèle Thorens Goumaz, avec qui il siège désormais.