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Au Sommet sur le climat à Lausanne, un dialogue turco-suisse

Selin Gören fait la grève à Istanbul, Albertine Grbic dans le canton de Vaud. En discutant de leur expérience, les jeunes militantes constatent certaines différences

Selin Gören et Albertine Grbic au sommet international pour le climat, Université de Lausanne. — © DR
Selin Gören et Albertine Grbic au sommet international pour le climat, Université de Lausanne. — © DR

«A Istanbul, les grévistes du climat sont avant tout des jeunes de moins de 15 ans.» C’est avec cette description que Selin Gören, 18 ans, parle du mouvement en faveur du climat dans son pays. Là-bas, les jeunes de son âge et les adultes ne sont pas les plus déterminés à se mettre en grève pour cette cause. «J’essaie d’inclure des personnes plus âgées dans notre combat, car cela nous aiderait à avoir plus de visibilité et de légitimité», explique cette étudiante turque. Tout l’inverse au fond de ce qui se passe en Suisse: «Nous sommes en grande majorité des étudiants en études supérieures et nous cherchons à sensibiliser les plus jeunes», compare Albertine Grbic, 17 ans, membre du collectif vaudois pour la grève du climat. C’est l’une des différences que peuvent constater ces deux militantes dans leur combat.

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