A l’origine, c’est une naissance qui a poussé Vanessa Maier au chevet des mourants. Celle de son enfant, il y a neuf ans. La sage-femme qui l’accompagne alors lui parle de son activité auprès des personnes en soins palliatifs: «L’expérience qu’elle décrivait m’a immédiatement parlé.» Point de départ d’un cheminement qui la conduira à devenir doula de fin de vie, aussi appelée «thanadoula».