La première fois, c’était fin décembre. En partant au travail le matin, Philippe Duperrex retrouve sa voiture avec une vitre brisée et un billet déposé sur le siège arrière. «Le mot stipulait que je devais faire attention à moi et à mes proches, parce qu’un accident est vite arrivé.» Le texte faisait référence à son rôle de coprésident des chasseurs vaudois, mais pas seulement. Cet ingénieur de formation est aussi surveillant de la faune auxiliaire à titre bénévole.