Réalisé d'ici à la fin de l'année, ce plan est destiné à des rachats de dette publique et privée pour tenter de soutenir l'économie face à l'épidémie de Covid-19. Il est supérieur à celui de la Fed
L’administration Trump veut envoyer des chèques aux Américains aussi vite que possible, dans le cadre d’un plan de soutien à l’économie de 850 milliards de dollars
A l'international, les salariés des entrepôts, des magasins et les livreurs du géant du commerce en ligne vont être augmentés de 2 dollars/livres/euros. Quelque 100 000 emplois à temps plein ou partiel vont être créés sur le sol américain
Malgré ses quarante ans d’expérience dans le monde des affaires, le président de la holding genevoise Pargesa vit lui aussi une expérience inédite. Les conséquences économiques du coronavirus le rendent «très nerveux». La polarisation de la société américaine aussi
Quelques fonds alternatifs ont pris des paris baissiers ou ont misé sur une hausse de la volatilité. Mais, à l'instar de Bridgewater Associates, le plus grand nom du secteur, la plupart souffre, malgré la promesse de réaliser des rendements quelles que soient les conditions du marché
Déçus par les mesures de soutien américaines et européennes, les marchés financiers ont encore chuté jeudi, forçant la Réserve fédérale à injecter 1500 milliards de dollars supplémentaires
Pas de baisse de taux d’intérêt, mais des prêts aux entreprises et une nouvelle enveloppe de 120 milliards d’euros pour racheter des actifs: l’institution a pris des mesures exceptionnelles. Elles n’ont pas réussi à rassurer des marchés déjà échaudés par les annonces de Donald Trump
Vice-président de Workplace, le réseau pour entreprises de Facebook, Julien Codorniou affirme que la demande explose à cause de la crise liée au coronavirus. Pour certains clients, comme l'OMS, le service est gratuit dans le cadre du programme «Workplace for Good». Le responsable revient aussi sur l’annonce publique du CERN de renoncer à ce service
En Chine, le commerce de détail pèse huit fois plus que le PIB suisse. Alors quand tout s’arrête, comme en février, Adidas annonce un milliard d’euros de manque à gagner
Le gouvernement italien débloque 25 milliards d’euros pour soutenir les entreprises et les ménages. L’impact du coronavirus s’avère aussi violent que celui de la crise financière de 2007-2008
L’histoire montre que les crises qui ont suivi les pandémies ont été de courte durée. Plusieurs économistes comptent sur un effet de rattrapage au deuxième semestre 2020. Pour autant que les entreprises se maintiennent à flot
Selon le scénario le plus catastrophiste, le secteur aérien pourrait enregistrer jusqu’à 113 milliards de dollars de perte de chiffre d’affaires cette année. Face à l’épidémie, les transporteurs tentent de diminuer leurs coûts tant bien que mal
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé mardi soir qu'un «fonds d'investissement de réponse au coronavirus» sera prochainement créé. Il pourrait «rapidement atteindre 25 milliards d'euros» de force d'investissement
La troisième économie de la zone euro, la plus frappée par le coronavirus, est en quarantaine. En attendant une aide européenne, le gouvernement italien vole au secours des entreprises et des ménages
On le sait: les marchés détestent l’incertitude. Face à une menace qui n’est pas qu’une grippette et à une Arabie saoudite qui déclenche la panique, on vient d’assister à un «lundi noir»: le krach boursier tant redouté s’est produit, résultat de l’affolement général
ANALYSE. Le coronavirus a mis en lumière la dépendance des pays industrialisés à l’égard de la Chine. C’est vrai que, dans certains cas, ces derniers semblent avoir mis tous les œufs dans un seul panier. Il n’empêche: contrairement à ce que les écologistes ou les nationalistes économiques pensent, la mondialisation, c’est du gagnant-gagnant pour tout le monde
La guerre des prix du baril entre l’Arabie saoudite et la Russie intervient dans un contexte mondial déjà rendu incertain par l’épidémie de coronavirus. La sortie de crise pourrait prendre des mois, voire des années
OPINION. Cette absurdité économique consiste à s’imposer un poison en étant convaincu qu’il nous fera du bien. Malheureusement, ce genre d’attitude masochiste a le vent en poupe
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