ÉDITORIAL. François est le premier pape, depuis des siècles, à se rendre en Mésopotamie. Pour se placer au chevet des chrétiens, mais aussi pour rencontrer le principal dignitaire chiite du pays
ÉDITORIAL. Sur la pandémie comme sur d’autres sujets, les experts nous disent parfois des choses que nous n’avons pas envie d’entendre. La tentation existe de ne pas les écouter. Mais on ne peut pas faire fi de la réalité
ÉDITORIAL. L’ancien président français est le premier ex-chef de l’Etat à être condamné à une peine de prison ferme pour «corruption» et «trafic d’influence». Sa défense vigoureuse, qui pointait l’insuffisance du dossier dans l’affaire des «écoutes», n’a pas résisté à l’intime conviction des magistrats
ÉDITORIAL. La 46e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU a commencé il y a une semaine. Elle est déjà le théâtre de violents affrontements. Pour les démocraties libérales toutefois, la défense des droits humains ne peut être sacrifiée sur l’autel des seuls intérêts économiques
ÉDITORIAL. Le produit intérieur brut suisse a finalement très bien résisté à la crise sanitaire en 2020. Mais l’indicateur économique phare semble n’avoir jamais été aussi peu représentatif de notre état
ÉDITORIAL. Le desserrement des mesures sanitaires devrait inciter à faire du séquençage des virus détectés en Suisse un pilier de la stratégie anti-covid
ÉDITORIAL. Les milieux touristiques comptent de nouveau sur les Suisses et les Suissesses pour sauver les meubles. Après une année de restrictions et de contraintes, ils vont devoir composer avec les rêves d’évasion d’une population fatiguée
ÉDITORIAL. La votation du 7 mars sur l’initiative «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage» polarise. Les arguments des initiants sont d’une irritante hypocrisie
ÉDITORIAL. Sous pression, le gouvernement a opté pour un assouplissement léger. Il donne des perspectives et veut éviter que les jeunes ne soient les principales victimes de cette crise. Propos forts d’Ueli Maurer et de Guy Parmelin, qui ont clairement soutenu Alain Berset
ÉDITORIAL. Ngozi Okonjo-Iweala, qui prendra ses fonctions de directrice de l’Organisation mondiale du commerce le 1er mars, va donner une nouvelle impulsion au débat sur l’accès aux vaccins contre le Covid-19
ÉDITORIAL. Les comparaisons entre l’intervention militaire française dans la région du Sahel et l’enlisement américain en Afghanistan vont bon train. Mieux vaut, pourtant, s’intéresser aux différences pour trouver une issue possible à ce conflit opposant des armées régulières aux djihadistes mêlés de trafiquants
ÉDITORIAL. Au vu de la grave crise sanitaire, politique et économique que traverse l’Italie, l’avènement du gouvernement de Mario Draghi, ex-président de la Banque centrale européenne, est une chance historique d’investir dans des infrastructures productives pour remettre le pays sur de bons rails
ÉDITORIAL. Secrétaire général des Nations unies, le Portugais Antonio Guterres a de bonnes chances d’être élu pour un second mandat cet automne. Or après 75 ans d’existence, l’ONU devrait enfin songer à élire une femme
ÉDITORIAL. Le coup d’Etat militaire du 1er février en Birmanie a permis à l’armée de reprendre le pouvoir sans coup férir. Mais alors que le peuple a le courage de se mobiliser pacifiquement malgré les contraintes sanitaires, les pays démocratiques ne doivent surtout pas abandonner les Birmans à leur sort
ÉDITORIAL. L’histoire du suffrage féminin en Suisse a été marquée par la lenteur. Aujourd’hui, les droits sont acquis mais les faits sont moins flatteurs
ÉDITORIAL. Les pays en développement réclament une dérogation temporaire des règles de protection de la propriété intellectuelle, histoire de faciliter l’accès aux vaccins contre le covid. Les Etats-Unis, l’Union européenne, la Suisse et le Japon n’entrent pas en matière
ÉDITORIAL. Les signaux de détresse des jeunes se multiplient: cette pandémie les prive de leur présent, dissout leurs liens sociaux, enlève du sens à leurs études. C’est ce qui ressort d’une vaste analyse menée par l’Université de Lausanne
ÉDITORIAL. Le coup d’Etat militaire en Birmanie ne marque pas seulement la défaite politique d’Aung San Suu Kyi, nettement victorieuse lors des dernières élections législatives du 8 novembre. Il témoigne de l’impuissance démocratique dans un pays contrôlé depuis des décennies par une armée résolue à ne pas lâcher prise. Surtout lorsque la situation sanitaire lui permet de tout verrouiller
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