Le conseiller d’Etat a accepté un avantage indu en partant en famille, tous frais payés, dans le luxe du Grand Prix d’Abu Dhabi. Aux yeux du tribunal, ce cadeau disproportionné était susceptible d’influencer le magistrat et ce dernier avait bien conscience du problème. Il est condamné à une peine pécuniaire avec sursis
A Genève, le Tribunal de police a rendu son verdict. Le conseiller d’Etat a bien envisagé et accepté le risque de se retrouver sous influence en acceptant un cadeau aussi important. Il écope de 300 jours-amendes avec sursis
Investir dans le renouvelable ou le bio est un bon premier pas, affirme le spécialiste de l’investissement d’impact. Mais les investisseurs seront véritablement responsables lorsqu’ils arrêteront de viser un rendement prédéfini et considéreront les conséquences de leurs placements sur l’ensemble de l’écosystème, prévient le fondateur de la société de gestion Quadia à Genève
Au Grand Théâtre de Genève, la mise en scène de Milo Rau dénonce avec force la cécité politique. Au détriment de la partition de «La Clémence de Titus», formidablement mise en lumière par le jeune chef Maxim Emelyanychev et l’OSR
En présentant l’unique candidature de la Verte Fabienne Fischer, l’Alternative a de bonnes chances de remporter le siège en jeu le 7 mars prochain. Ce qui ferait basculer la majorité au Conseil d’Etat
Le procès du conseiller d’Etat genevois et des quatre autres prévenus s’est achevé jeudi avec les plaidoiries de la défense. Les avocats du ministre ont demandé son acquittement, ou alors une exemption de peine au motif qu’il a déjà largement payé sa faute
Les citoyens voteront le 7 mars sur le lieu de stationnement Clé-de-Rive au centre-ville. Fruit d’un compromis historique entre droite et gauche, compensé par une large piétonnisation, il divise pourtant
Quatrième matinée d’audience devant le Tribunal de police de Genève, où il est question de guerre civile, d’exil, de Machiavel, de psyché, de boîte de Pandore, de curée et de vérité relative
Le Ministère public a requis des peines de 14 mois de prison avec sursis contre le conseiller d’Etat et son ancien chef de cabinet pour avoir pris le risque de bâtir une «relation toxique» en acceptant de luxueux cadeaux
Depuis le deuxième semi-confinement en novembre, la salle de stand-up genevoise propose de multiples émissions retransmises en direct sur YouTube. Un crowdfunding a été lancé pour rémunérer les artistes
Troisième matinée d’audience devant le Tribunal de police de Genève, où il est question de retrouvailles, de touristes du Golfe, d’ADN, de costume et d’argent
Interrogé durant plusieurs heures lors de cette deuxième journée d’audience, le conseiller d’Etat réfute l’accusation telle qu’elle est formulée. Il précise avoir accepté une invitation qui représentait un honneur pour lui et pour la République et canton de Genève
OPINION. Ce n’est qu’avec une économie prospère que l’on peut avoir des finances publiques saines, rappelle la conseillère d’Etat genevoise Nathalie Fontanet, pour qui la dette doit être reconnue comme un investissement pour tourner la page de la crise
Deuxième matinée d’audience devant le Tribunal de police de Genève, où il est question de calvaire, de lâcheté, de responsabilité, d’argent, de mensonge et d’expiation
Le procès du conseiller d’Etat et de ses quatre coprévenus s’est ouvert ce lundi à Genève. Patrick Baud-Lavigne s’est dépeint comme un secouriste, toujours prêt à rendre service à ceux que l’administration malmène. Rien à voir avec du copinage, assure l’ex-bras droit du ministre
En janvier dernier, le bâtiment insalubre, qui abritait principalement des personnes sans statut légal, a brûlé. Face à la détresse des habitants, l’Asloca et les autorités montent au front. De leur côté, le propriétaire et la régie affirment n’avoir jamais eu connaissance de «sous-locations non autorisées»
Première matinée d’audience devant le Tribunal de police de Genève, où il est question de banc, de carnet, de copinage, de trahison, d’ouverture de bar et de tour de contrôle
Depuis un mois, les employés de Swissport Genève protestent contre les nouveaux contrats de travail imposés par leur employeur. Après l’échec de nouvelles négociations, l’entreprise menace de licencier les 380 personnes qui n’ont pas encore signé, si elles ne changent pas d'avis d'ici lundi
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