La marque horlogère chaux-de-fonnière annonce jeudi qu’elle a racheté l’ensemble de son capital pour mieux contrôler son développement. Le groupe de luxe genevois en détenait 20% depuis 2006
Baselworld a très certainement définitivement tiré la prise. Et tous les projecteurs du monde de l’horlogerie seront braqués sur Genève la semaine prochaine pour l’ouverture de Watches & Wonders. Un juste retour aux sources pour la Cité de Calvin, qui se partage, avec l’Arc jurassien, le titre de berceau des garde-temps
En passant de mains en mains, les objets se chargent d’histoires. Les enchères racontent également cela: notre fascination pour le destin des choses. Retrouvez ici une sélection subjective de ventes à venir, allant d'un manuscrit pieux à des tabatières chinoises
C’est à Rome, sur la place du Panthéon privatisée pour l’occasion, que Bulgari vient de présenter lundi soir sa dernière prouesse technologique. Il s’agit de la Octo Finissimo Ultra, garde-temps mécanique le plus fin jamais réalisé. Un huitième record du monde pour la marque italienne, basée à Neuchâtel
Les sanctions prises par les milieux économiques à l’encontre de la Russie touchent tous les secteurs. Y compris l’horlogerie. Néanmoins, les fabricants suisses de montres redoutent bien plus la nouvelle vague de covid en Chine
Le groupe Aiôn, qui ambitionne de concurrencer la Suisse en termes de production horlogère, pourrait bien être la nouvelle victime d’un entrepreneur suisse, qui sévit depuis des décennies dans le milieu
Le Musée international d’horlogerie (MIH) de La Chaux-de-Fonds vernit ce jeudi son exposition temporaire consacrée à ses acquisitions 2021. «Le Temps» a rencontré son conservateur, afin de savoir ce qui rend une pièce digne d’intérêt
La Russie est le premier producteur de diamants au monde en volume mais les sanctions et les risques réputationnels compliquent la vie aux horlogers et bijoutiers, qui doivent changer leurs sources d'approvisonnement
Un nouveau groupe horloger vient de voir le jour en France. Il a pour ambition de ramener l’Hexagone au premier plan en matière d’horlogerie, en se passant des mouvements helvétiques. Un projet soutenu par l’Etat, qui a élu domicile à La Ciotat, au bord de la Méditerranée
Georges Gay, horloger de la vallée de Joux, avait conquis le monde. Vendant des garde-temps à des clients des quatre coins de la planète, il employait près d’une centaine de personnes dans ses ateliers. Aujourd’hui, deux de ses petits-fils font renaître cet héritage tombé dans l’oubli au début du millénaire
Le 30 mars prochain, la grand-messe de l’horlogerie ouvrira ses portes dans la Cité de Calvin. Watches and Wonders Geneva draine dans son sillon deux autres salons, une exposition, ainsi que nombre de marques qui profitent de l’émulation pour présenter leurs nouveautés dans les hôtels genevois
Qu’il soit long ou quasi instantané, le temps est le précieux allié des chefs. Florian Le Bouhec, maître de cérémonie au restaurant Le Bologne à Genève, pose son regard sur quelques modèles horlogers actuels
Symbole d’un savoir-faire ancestral, l’horlogerie plonge dans les univers virtuels avec pour objectif d’y harponner une nouvelle clientèle. Si certaines maisons produisent des jumeaux numériques de modèles existants, d’autres créent des garde-temps qui ne donnent pas l’heure
A peine l’horloger Jean-Claude Biver avait-il annoncé vendredi vouloir lancer sa propre marque, qu’un avocat genevois déposait le même jour une demande pour protéger la marque JC Biver. Une action qui n'a pas fait long feu, puisque mardi l’affaire était déjà réglée
The Watch Library entend numériser un maximum de sources liées à l’histoire de la montre pour les rendre accessibles sur internet. Basée à Genève, cette fondation s’apprête à être reconnue d’utilité publique
Il l’a annoncé, sans préméditation dit-il, ce vendredi matin sur les ondes de la RTS dans «Médialogues». Jean-Claude Biver veut lancer sa propre marque de montres, dont les premières pièces devraient sortir de ses ateliers au plus tard en septembre 2023
OPINION. C’est la première fois que deux marques horlogères, Ulysse Nardin et Girard-Perregaux, quittent le groupe de luxe qui les avait achetées, Kering. Mais ce n’est peut-être pas la dernière
Le directeur général des deux marques neuchâteloises explique au «Temps» pourquoi le groupe de luxe français Kering leur a rendu leur indépendance. Et pourquoi il est convaincu de leur succès à long terme
Les deux marques horlogères neuchâteloises quittent le giron du groupe de luxe français Kering. Elles sont rachetées par une équipe menée par l’actuel directeur général des deux entités, Patrick Pruniaux. Aucun montant n’est articulé
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