Quatorze pièces de théâtre forment «La Traversée des langages», une somme de travail de scène et d’écrits par l’auteur de «V comme Vietnam». Chantre des spectacles possibles, poète des idéogrammes chinois, de la physique quantique et des maquis, le dramaturge déploie d’étonnantes formes d’écriture. Rencontre à la Maison de l’arbre à Montreuil
Dans ce premier roman, Félicité Herzog essaye de comprendre pourquoi son grand frère est devenu fou et pourquoi ni sa famille ni personne n’a voulu voir sa maladie. Elle questionne ce faisant la fabrication des héros par une société humiliée comme l’était la France après la guerre et les désastres qui s’ensuivent
«L’Herbe des nuits», un nouveau point de repère dans la cosmogonie littéraire de l’auteur de La Place de l’Etoile, qui poursuit son inlassable quête de sens. Le roman convoque rêves, notes et souvenirs pour déchiffrer d’étranges signaux venus du passé
Dans un ouvrage court et ambitieux, Mark Hunyadi, philosophe et collaborateur au Samedi Culturel, tente de résoudre l’un des plus épineux débats de la pensée morale européenne, en traçant une troisième voie entre idéalisme et communautarisme
L’attribution du prix Nobel de littérature à Mo Yan est une excellente nouvelle pour la littérature chinoise. Elle a aussitôt été saluée par la presse officielle à Pékin. Mais il n’est pas certain que cela satisfasse entièrement les autorités
Melinda Nadj Abonji est née en 1968 en Voïvodine, au sein de la minorité hongroise. Elle a suivi ses parents à Zurich en 1973. Elle est aussi chanteuse et violoniste. Et l’on sent cette musique et cette énergie dans «Pigeon, vole» qui arrive en français auréolé de prix dont le Deutscher Buchpreis, le prix littéraire le plus prisé de l’aire germanophone
C’est avec ce roman, écrit en 1998, que Richard Powers est devenu connu aux Etats-Unis avant de remporter le National Book Award avec «La Chambre aux échos» en 2006
Ecrit en prison, l’original des «Cent Vingt Journées de Sodome» a failli disparaître. La Bibliothèque nationale française tente aujourd’hui de le récupérer
Comme son maître du XIXe, la romancière emploie la satire pour dénoncer le mépris envers les exclus. Elle signe un roman-fleuve qui se lit comme un feuilleton