Le chef valaisan a annoncé qu’il fermerait définitivement son établissement de Sierre en avril prochain pour devenir le responsable du domaine de l’hôtellerie-restauration des remontées mécaniques de Grimentz-Zinal. Un changement de cap qui démontre l’importance toujours plus grande que prend la restauration pour les domaines skiables
EPISODE 3. Pionnier en la matière, le directeur de la Fondation pour le développement durable des régions de montagne a su porter la thématique en Valais, un canton où la durabilité n’a pas toujours été une priorité
Les stations de Saas-Fee et de Zermatt ont dû fermer leurs glaciers en raison des mauvaises conditions d’enneigement. Avec le réchauffement climatique, la pratique a-t-elle encore un avenir? Les avis divergent
ÉPISODE 1. Soucieux de sauvegarder le patrimoine culturel et de valoriser la montagne, le maire de Gambarogno a opéré un joli coup marketing: des chalets bradés pour attirer les investisseurs désireux de s’établir dans cet écrin de nature tessinois
La Suisse romande et ses environs regorgent d’occasions pour nourrir son appétit de connaissances scientifiques, le temps d’une promenade. «Le Temps» vous suggère quatre thématiques de sorties en plaine ou en montagne, à tenter en famille, seul·e ou entre ami·es, pour revenir à la rentrée avec un esprit nourri dans un corps reposé
Le refuge des Guides du Cervin se trouve désormais en partie en Suisse. La position stratégique de la bâtisse a fait l'objet de négociations avec l'Italie. Les détails du compromis restent secrets
Grâce à des simulations numériques et à une vidéo fournie par un snowboarder professionnel, des scientifiques de l’EPFL et du WSL ont affiné leur compréhension des avalanches de plaque, qui partageraient des traits avec les tremblements de terre
Sur les quelque 620 glaciers que compte le Valais, 78 sont sous surveillance. Ils représentent un risque pour des infrastructures en aval, telles que des villages ou des voies de circulation. «Le Temps» vous propose la carte de ces étendues de glace qui laissent planer un danger
Face au risque de chutes de pierres dû aux températures élevées, les professionnels de l’alpinisme recommandent d’éviter un certain nombre de voies en haute montagne
Sur la voie normale qui mène au toit de l’Europe occidentale, l’augmentation des chutes de pierres dans le couloir du Goûter inquiète guides et autorités, qui contre-indiquent formellement sa fréquentation. Les autres itinéraires demeurent boycottés par les professionnels
Dans un récit, le journaliste Camille Belsoeur suit des naturalistes sur les traces des espèces animales et végétales qui peuplent des Alpes assiégées par la présence humaine
Samedi, une cordée de femmes a emmené la guide fribourgeoise paraplégique Nicole Niquille au sommet du Breithorn, au-dessus de Zermatt. Récit d’un moment hors du temps
Au-dessus de Saas-Grund, l’ascension du Weissmies (4017 m) par le Hohsaas est menacée par l’effondrement de séracs prévu ces prochains jours par les spécialistes. Les alpinistes sont invités à emprunter un autre itinéraire
Des tiges métalliques ont été plantées dans le courant du mois de juin pour sécuriser un passage devenu dangereux suite à l’ouverture d’une série de crevasses sur la voie normale du Toit de l’Europe. Certains alpinistes s’opposent frontalement à cette initiative
Face au drame de la Marmolada, notre chroniqueuse se souvient de Ramuz et des peurs ancestrales du monde alpin. Et si on arrêtait de crapahuter sur les sommets qui, plus que jamais, sont hostiles à l’humain?
Dans les Dolomites, l’effondrement de l’étendue de glace a fait de nombreuses victimes. Pour le glaciologue, le changement climatique pourrait multiplier ces phénomènes, difficiles à prévenir
Si la fonte des glaces n’épargne aucun massif des Alpes, «la reine des Dolomites» représente néanmoins un exemple de ce que le GIEC considère comme l’une des dix menaces majeures causées par le réchauffement
Un énorme bloc s’est détaché dimanche après-midi du glacier de la Marmolada, le plus grand des Alpes italiennes, provoquant une avalanche qui a fait au moins six morts et huit blessés
La fonte accélérée du glacier du Khumbu et la pression engendrée par l’activité humaine rendent le camp de base côté népalais dangereux. Les autorités du pays prévoient de transposer son emplacement en aval d’ici à 2024
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