Le Californien à la voix d’outre-tombe rompt un silence de sept ans pour redorer son univers cabossé et mélancolique. Son seizième album est une anthologie à ne pas manquer
(Kompakt/Namskeio). Après l’époustouflant
Chromophobia
(2007) et l’inabouti
Take My Breath Away
(2009), le brésilien remet de l’ordre dans ses papiers en proposant avec davantage de cohérence ...
Il y a entre le «Dicty Glide» pittoresque et sautillant de 1923 et le «Moten Stomp» rutilant de 1938 une distance gigantesque, qui est celle parcourue par le jazz...
(Naïve/Musikvertrieb) Il est frustrant de se dire qu’un chef comme Alan Curtis, qui n’a pas la trempe d’un Minkowski ou d’un René Jacobs, enregistre des kilomètres de Händel avec de superbes cantatrices...
(Glitterhouse Records/Irascible). ls ont raconté le désert du sud américain, ses villes poussiéreuses et spleenesques avec un sens de la narration musicale que seul Calexico...
Les années 60, c’est pour Ray Charles une période de plénitude vocale pas encore entamée, de transe librement consentie où chacune de ses inflexions vous rive à votre siège.
Ce n’est pas une raison musicale suffisante, mais le fait que jamais les directeurs de festivals ne se les arracheront nous les rend d’emblée attachants.
Tel le phénix, des cendres des formations de la radio belge, sous le double nom de Brussels Philharmonic - the Orchestra of Flanders, est ressuscité un ensemble à la qualité duquel Michel Tabachnik, son directeur musical, aura contribué de manière essentielle...
(dBpm-Anti/Phonag). Un chef d’œuvre à son compteur, le lointain Yankee Hotel Foxtrot (2002) et beaucoup de vicissitudes qui lui ont coûté des réaménagements radicaux...