(Edbanger/Disques Office). Les résonnances flatteuses suscitées par Rubber en 2010 ont révélé à un public large la facette cinématographique du Français Mr. Oizo...
(4AD Records). L’immense Alcyon Digest, qui a marqué l’année 2010, posait la question qui suit tout chef-d’œuvre: comment réitérer le coup sans tomber dans la redite...
Le pianiste hongrois András Schiff, bientôt 58 ans, revient au compositeur allemand qu’il joue depuis toujours avec sa sensibilité à fleur de peau et un toucher aux couleurs infiniment variées
860 numéros condensés des Inrockuptibles, un best cathartique de Noir Désir, la saga du rock en cases de Rock Strips, la candeur de The Beach Boys ou une vision englobante du blues?
Arthur Rubinstein: «The Complete Album Collection», 142 CD + 2 DVD, RCA Red Seal/Sony Classical, env. 309 fr. Un grand coffret de 142 CD permet d’apprécier tout le legs discographique du pianiste polonais, né en 1887, disparu en 1982
(Riot Season / www.riotseason.com) Avec Hey Colossus, fondé en 2003 à Londres et qui aligne aujourd’hui sept musiciens, on atteint à une quintessence de ce à quoi le krautrock eût ressemblé s’il avait été inventé de nos jours et non dans l’Allemagne des années 70
(www.theawkwards.ch/Namskeio) Deux ans passés sur les scènes d’ici (Paléo, Montreux Jazz...) et d’ailleurs, quelques cassettes vendues à la sauvette, puis un premier album qui fixe enfin les arguments d’un groupe au potentiel évident...
(Wagram/Disques Office) Dans le lit des chansons d’Yves Jamait, les amours s’écoulent souvent froissées. Et les portraits évoquent des gueules fracassées. Dans le sillage de Je passais par hasard (2008), où il insistait moins sur le mal-être, Saison 4 s’ouvre encore davantage à des possibilités de bonheur...
(Naïve/Musikvertrieb) C’est beaucoup plus sophistiqué que ça en a l’air. On se croit dans une session au premier degré, où tout le monde se fait plaisir à coups de groove dégoulinant, en prenant bien soin de laisser au vestiaire ses théories sur le jazz post-tout. Et puis non...
(Poll Winners/Musikvertrieb) Regardez bien la photo de pochette: on jurerait que John Lewis y dialogue avec un revenant. Celui de Lester Young peut-être, pourtant encore relativement vivant à l’époque (1956)…
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